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« Bibliothèque de nuit | Accueil | La douleur du dé »

09 février 2007

Commentaires

Souffle et lutte, révolte et souffle encore … Les images charriées en magmas incandescents. Nom de dieu, quel texte ! Qu'une défricheuse de votre acabit soit également une poétesse d'une telle trempe ne saurait que m'éjouir l'âme …

Ce texte m'émerveille!C'est merveilleux! JE l'ai en tête et je m'en redit des petits bouts... Et puis j'y reviens pur relire le tout!

Douleur du dé : se détacher, se délivrer, se démunir. Rouler, sans fin, ivre de ce vertige à chaque choc renouvelé, affamé de cette chute sans rivage. Sans but.

"Garde ce qu'il faut d'ectoplasme pour paraître leur contemporain." Michaux.

Votre texte est dur et pourtant tellement vrai....hélas ! Mais il faut quand même malgre cet environnement pessimiste garder le moral et essayer de positiver...sinon on ne peut que se laisser aller vers le suicide...le vide...le néant...de cette mort qui nous effrait par "sa forme inconnue et/ou la violence" qu'elle revêtira un jour...
Vivre du mieux possible et pleinement... il nous est seulement possible d'habiller notre temps de vie par un choix de valeurs positives...faut-il encore que l'humanité ait ce même raisonnement...
Je ressens votre peur sans toutefois avoir votre talent pour l'écrire....
Je suis ravie de lire votre blog ainsi que vos travaux sur Poezibao. Merci et félicitations c'est merveilleux !

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