Merci Florence de ces bons et beaux voeux ...
Amitiés
Guidu
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MAILLES A PARTIR
Madame indigo, belle vous fûtes,
Avant que le temps sur vous
N’inscrive pour toujours
Son oblique hypoténuse.
Quand la reddition passa,
Dans l’espace partout ceinturé de moises
Il y eut une si grande pluie de manne
Que la haine de la vie, sans éspoior
Se déversa.
Brume, popeline oubliée
Après la débâcle.
En file indienne un par un
Les paléontologues circonspects
S’évertuèrent à disséquer
Le sens de cette inéluctable catastrophe,
Pour en conclure finalement,
A une nécessité des cendres
Qui feraient tôt ou tard,
Rejaillir la beauté quelque part !
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Rédigé par : Guidu Antonietti di Cinarca | dimanche 26 décembre 2004 à 11h53