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lundi 17 janvier 2005

Commentaires

Le calme du végétal : une des seules voies profondes d'apaisement que je connaisse. Je vois ces têtes de géraniums rouges à quelques mètres, mais je pense aux iris de Sacré, aux pivoines de Jaccottet...Entrer dans le temps du végétal, être avec l'acacia ou le platane, vivre lent, repose. Antoine Emaz in "Poésie , question ouverte", Lichen, lichen, p 30.

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