Lorand Gaspar, poète,
médecin et photographe, est né le 28
février 1925 en Transylvanie. Déporté pendant la guerre, il fait ses études de
médecine à Paris. Il a reçu le Grand Prix de Poésie de la Ville de Paris en
1987 et le Grand Prix National de Poésie en 1994.
Extraits de la
bibliographie de Lorand Gaspar
Poésie :
Le quatrième état de la matière,
Flammarion, 1966
Gisements, Flammarion, 1968
Sol absolu, Gallimard 1972
Corps corrosifs, Fata Morgana, 1978
Sol absolu, Corps corrosifs et autres textes, avec un
essai d’autobiographie, Poésie/Gallimard, 1982
Egée, suivi de Judée, Gallimard, 1980
Egée, Judée, suivi d’extraits de Feuilles
d’observation et de La maison près de la mer, Poésie/Gallimard, 1993
Patmos et autres
poèmes, Gallimard, 2001
Patmos et autres
poèmes, Poésie/Gallimard, 2004
Prose
Approche de la parole, avec un frontispice d’Henri Michaux, Gallimard,
1978 ; réédition augmentée d’Apprentissage, Gallimard, 2004
Journaux de voyage, avec deux encres de Zao Wou-ki, Picquier-Le
Calligraphe, 1985
Feuilles d’observation, Gallimard, 1986
Carnet de Patmos, avec des photographies de l’auteur, Le Temps
qu’il fait, 1991.
Arabie heureuse, réédition, revue et corrigée, de Journaux de
voyage, augmenté de trois nouveaux récits, Deyrolle, 1997
Carnets de Jérusalem, avec des photographies de l’auteur, Le Temps
qu’il fait, 1997
Lorand Gaspar a également
écrit un essai, Histoire de la Palestine, Maspero, 1968 et 1978 et
publié plusieurs livres de photographie.
Une très belle page
avec notamment une analyse de Serge Meitinger
sur le site de remue.net
un entretien avec Lorand Gaspar
Une belle page sur le
site de l’éditeur Le Temps qu’il fait
voir aussi ce site
« ….le réel « total
», le seul réel véritable, n’est accessible qu’à l’intuition poétique (les
grands philosophes, les grands mystiques et quelques grands scientifiques sont
des poètes), qui par une approche sans cesse renouvelée, par des chemins si
différents jette, dans ses meilleurs moments, une lumière instantanée, inexplicable
sur ce qui n’a pas de visage… » lire la suite
de cette magnifique lettre de Lorand Gaspar à Serge Meitinger
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