Toutes ces lignes allumées ne valent quoi les allume
Tant de lignes à la longue amènent bien moins d’amour
qu’elles ne
savent pas dire
Encore des lignes en vain vingt-quatre trente-deux
syllabes
comme le rêve passe les bornes sans trop en
avoir l’air
pour ne pas en manquer
Pour ne pas dire adieu saluer et puis tracer
Valérie Rouzeau, Va où, Le Temps qu’il fait, 2002, p. 74.
voir la fiche bio-bibliographique de Valérie Rouzeau
Commentaires