On
peut essayer de compartimenter l’œuvre de Franck Venaille dans des catégories
extérieures comme poème, poème en prose, récit... On s'aperçoit alors à un
moment qu'il y a continuité, passage en douceur de l'une à l'autre, que
Venaille pousse, et déjoue tellement chacune d'entre-elles, que l'on passe en
douceur de l'une à l'autre, qu'il y a du récit dans le poème en prose (Noire
: Barricadenplein), du poème en prose dans le récit (la Guerre d'Algérie),
du récit dans le poème (poèmes de la Guerre d'Algérie)...
©Alain Marc
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