(… La poésie. De , de .) et celles de Benjamin Fondane, de Michel Houellebecq, d'Abdellatif
Laâbi.
Les présentes
"lectures", ou plutôt "instants" (voir les deux parutions du « Journal de l’instant
» ainsi que les "lectures" de Duras parues dans la revue-magazine le
Bord de l’eau en 1996), sont un aparté d’Écrire le cri, une suite, un autre éclairage. Sur, à partir de
Benjamin Fondane (Écrire le cri donne la liste des œuvres du cri du poète roumain), sur la poésie de
Michel Houellebecq (toujours aussi peu présente dans les institutions
poétiques…), sur la poésie d’Abdellatif Laâbi, notes écrites pendant la
conception de l’entretien « le Martèlement du poète, Rencontre avec Abdellatif
Laâbi » paru dans la revue Europe
(numéro Nazim Hikmet, juin-juillet 2002), sur la poésie du cri de Pierre
Garnier - et oui…, découverte récemment -, qui fut le déclencheur d’une lecture
plus approfondie de sa poésie "linéaire" témoignée dans les
"Lectures poétiques" parues au sein de Poezibao en décembre 2005, et enfin, de l’écriture
Guyotat.
AM
Les poèmes de Paysages de Benjamin Fondane (poèmes 1917-1923, édités en
Roumanie en 1930, rééd. trad. Odile Serre dans le Mal des fantômes précédé de Paysages, Paris Méditerranée/l'Éther Vague Patrice Thierry
Éditeur, avr. 1996) : comme toujours, disent autre chose que ce qu'ils disent
au premier abord. « Mais que cherchait Benjamin Fondane en écrivant ces
paysages ? Lui qui n'a cessé de chercher à écrire le cri », serait une question
intéressante.
©Alain Marc
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