« ... ce début d'Une mort
toujours enceinte qui possède ô
combien de force et que je considère comme étant proche du cri. [...]
Vous comprenez là, ce que vous ne voyez
peut-être pas de l'intérieur, pourquoi je sépare les deux premières parties du
premier opus d'Une mort toujours enceinte du reste de votre œuvre [...] Un certain parlé
franc, une position du poète, par rapport au lecteur, qui se met plus en avant,
à découvert, qui ose, plus - quand la tension est trop forte - et laisse au
vestiaire, l'en-place du langage intrinsèque, codé, qu'a installé petit à petit
l'histoire de la poésie. »
(Extraits d'une deuxième
lettre à Pierre Garnier).
©Alain Marc
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