Effleuré par
l'oiseau de l'instant
Le jardin rentre dans son ordre présent
Dans la lumière grise
Les couleurs viennent du rose de son cri
Le tapis que l'ombre tisse
Dans l'éclaircie soudaine
Est pour le regard une partition connue
La fraîcheur sur la joue gauche
Le main droite étendue
tout est peut-être retrouvable
Et nous sommes des statues familières
Sous les doigts légers du lieu
Heather
Dohollau, Matière de lumière, Éditions Folle Avoine 1985, sans
pagination.
Heather Dohollau dans Poezibao :
Bio-bibliographie
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