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mercredi 08 mars 2006

Commentaires

J'ai eu le privilège de rencontrer Jean-Yves Masson grâce à Michèle Desbordes que j'ai un peu connue et dont les textes, la voix, la présence discrète et secrète ont véritablement bouleversé ma vie de lecteur, et d'homme aussi. Elle m'avait accordé sa confiance et, avec la discretion qui la caractérisait, un peu de son affection. Pour moi, dans mon itinéraire intellectuel et j'oserai même dire affectif, Jean-Yves Masson et Michèle Desbordes sont et resteront toujours étroitement liés. Deux esprits, deux intelligences, deux écoutes, deux sensibilités qui se répondent, qui s'entendent, au sens fort du terme, et qui, ensemble, m'ont chaleureusement "accueilli". Je viens de lire le texte de Jean-Yves Masson et je suis très ému, tant il dit avec pudeur et sincérité de belles choses sur Michèle Desbordes et sur son oeuvre dont je pense aussi, j'en suis intimement convaincu, qu'elle restera une oeuvre marquante, singulière, car profondément poétique. En quelques lignes, tout est évoqué, et merveilleusement évoqué. Un grand merci donc à Jean-Yves Masson pour cet hommage qui ira, je n'en doute pas, droit au coeur de ceux qui ont eu la chance de côtoyer Michèle Desbordes et, surtout, de tous ceux qui ont lu, relu et aimé ses livres. Des livres qui longtemps nous accompagnent.
Cher Jean-Yves Masson, Votre "tombeau" pour Michèle Desbordes est admirable, digne du souvenir qu'elle laisse, et poétique comme le sont ses "proses" que vous évoquez avec la ferveur de celui qui les admire. Merci de nous rappeler ce qui demeure, une dense maison de mots. André Ughetto
Merci à J.Y. Masson pour ce beau texte qui n'ôte pas la part de silence et de mystère d'un être mais fait connaître M. Desbordes autrement que par ses livres. Sylvie FabreG.
Merci, cher Jean-Yves Masson pour ce beau récit qui tourne autour d'une personne que j'ai peu connue, juste deux ou trois rencontres, le temps de se dire qu'on aimerait bien se voir davantage, avant que quelques lignes dans le journal annonce sa disparition. Ce texte dit bien ce que Michèle Desbordes était, le poids leger mais décisif, de son oeuvre - et aussi sa beauté, son élégance. Je me souviens encore avec émotion du timbre de sa voix.
Quelle magnifique lettre ! J'aimerais dire à Jean-Yves Masson combien elle m'a bouleversée, et donné envie de lire tous les titres dont il est question. Je crois moi aussi que les amitiés s'épanouissent, comme les fleurs, dans le silence. Mais les amitiés durent, et ce que vous écrivez, j'espère et je suppose que d'une façon ou d'une autre Michèle Desbordes en avait connaissance, de son vivant. Merci encore pour cette poésie qui rejaillit sur vous, et sur nous, lecteurs..
Bel hommage de Jean-Yves Masson à Michèle Desbordes de ceux qui disent le lien subtil qui peut unir les épris de poésie...

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