Pour l'aurore, la disgrâce c'est le jour qui va venir; pour le crépuscule c'est la nuit qui engloutit. Il se trouva jadis des gens d'aurore. A cette heure de tombée, peut-être, nous voici. Mais pourquoi huppés comme des alouettes ?
René Char, La parole en archipel, nouvelle édition, Gallimard (1962) 1986, p.144.
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