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vendredi 26 mai 2006

Commentaires

A la demande de mon ami, l'archéologue et poète portugais Vitor Oliveira Jorge, je publie ces commentaires qu'il m'a envoyés par le courriel à propos de ce texte de Eugenio de Andrade : "Très bon choix d’un grand poète portugais. Pourtant les trois derniers vers de la traduction n’ expriment pas ce qu’il veut poétiquement. Ça serait plutôt quelque chose comme ça: Auparavant pourtant, comme une syllabe tremblante, elle revient pour rompre, pour blesser, pour caresser la plus lointaine des étoiles. (il y a une suggestion de surprise, de revenir quand on l’attend moins... Eugenio est très concis et très difficile....très subtil). A n’en pas douter, la poésie est une des choses que le Portugal a de mieux

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