
j'ai lutté.
Frappé les mots, froissé
les mots
dans leurs jointures.
Qu'ils résistent, qu'ils
cèdent,
je reste seul.
Je
recule
jusqu'au silence.
tout le jour,
sans jamais savoir. Sans
voir plus loin.
Claude Esteban, Le nom et la demeure, Flammarion 1985, p. 68
Esteban
Claude, extrait
1, extrait
2, la
disparition de Claude Esteban, extrait
4, Le
Matricule des Anges n° 73, hommage
de Hassan Sadfari, extrait
5,
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Rédigé par : Geneviève C | mardi 11 juillet 2006 à 00h39