ma langue natale comme tu sais te taire
sur les pierres noires de nuit
la seule lueur est ce battement
dans la gorge dont on ne sait
si c'est angoisse, prière ou accord –
mais où est la ligne de partage
entre ce rien qui coule sans bouger
une feuille et la houle qui emporte
la nuit, la maison, le nageur ?
Lorand Gaspar in NRF n° 552, janvier 2000, page 118.
note
bio-bibliographique, extrait
1, extrait
2, extrait
3, extrait
4, extrait
5(parution Europe), note
de lecture du numéro spécial d’Europe (oct. 2005)
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