James Sacré est né le 17 mai 1939. Il passe sa jeunesse en Vendée.
D’abord instituteur en France, il
s’installe aux États-Unis à partir de 1965. Il y poursuit ses études de lettres
et écrit une thèse sur la poésie de la fin du XVIe siècle français. Il
enseigne dans une université américaine du Massachusetts (Smith College) et
fait de fréquents séjours en France, des voyages en Europe (l'Italie surtout)
et au Maroc. Il est publié par Obsidiane, Le Dé Bleu, le Temps qu’il fait,
Tarabuste, etc.
Il vit aujourd’hui à Montpellier
bibliographie
Relation., N.C.J., 1965.
La femme et le violoncelle, J.C.
Valin éditeur, 1966
« Graminées », Poésie-Écrire.
Le Seuil, 1968 (collectif) ; repris dans Les mots longtemps..., Tarabuste, 2004
La transparence du pronom elle., Chambelland,
1970
Cœur élégie rouge. Paris : Le
Seuil, 1972 ; et Marseille : André Dimanche, 2001.
Comme un poème encore, Atelier de
l'agneau, 1975, repris dans La poésie,
comment dire ?
Paysage au fusil (cœur) une fontaine. Paris :
Gallimard, Cahier de poésie 2 (collectif), 1976 ; et Tours : La
Cécilia, 1991 ; repris dans Les mots
longtemps..., Tarabuste, 2004.
Un brabant double avec des voiles,
Nane Stern, 1977, repris dans Les mots
longtemps..., Tarabuste, 2004.
Un sang maniériste. Étude structurale
autour du mot sang dans la poésie lyrique française de la fin du seizième
siècle, 1977.
Figures qui bougent un peu, Gallimard,
1978.
L'amour mine de rien, Encre/Recherches,
1980 (collectif).
Quelque chose de mal raconté, André
Dimanche, 1981.
Des pronoms mal transparents, Le dé
bleu, 1982.
Rougigogne, Obsidiane, 1983
Ancrits, Thierry Bouchard, 1983
Écrire pour t'aimer ; à S.B., André
Dimanche, 1984.
Bocaux, bonbonnes, carafes et bouteilles
(comme), Le Castor astral et Le Noroît, 1986 (avec des photographies de Bernard
Abadie) ; repris dans Les mots
longtemps..., Tarabuste, 2004.
La petite herbe des mots, Le dé bleu,
1986 ; repris dans Si peu de terre,
tout.
La solitude au restaurant, Tarabuste,
repris dans Écrire à côté.
Une fin d'après-midi à Marrakech., André
Dimanche, 1988.
Un oiseau dessiné, sans titre. Et des
mots, Tarabuste, 1988, repris dans La
nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.
Le taureau, la rose, un poème, Cadex,
1990
Je ne prévois jamais ce que je fais quand
je dessine, Les petits classiques du grand pirate, , repris dans La nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.
Comme en disant c'est rien, c'est rien,
Tarabuste, 1991, repris dans La nuit
vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.
On regarde un âne, Tarabuste, 1992
Ecritures courtes, Le dé bleu, 1992.
La poésie, comment dire ?, André
Dimanche, 1993.
Des animaux plus ou moins familiers ?,
André Dimanche, 1993.
Le renard est un mot qui ruse,
Tarabuste, 1994, repris dans La nuit vient dans les yeux, Tarabuste, 1997.
Ma guenille, Obsidiane, 1995.
Viens, dit quelqu'un, André Dimanche,
1996.
Essais de courts poèmes, Cahiers de
l’Atelier, 1996
La nuit vient dans les Yeux,
Tarabuste, 1997
La peinture du poème s’en va, Tarabuste,
1998.
Anacoluptères, 1998
Relation, essai de deuxième ancrit
(1962-63 ; 1996, 1999.
Labrego coma (cinco veces), Noitarenga, Si
peu de terre, tout. Chaillé-sous-les-Ormeaux : Le dé bleu, 2000.
L’Amérique un peu, Trait-d’union,
2000
Écrire à côté., Editions Tarabuste,
2000
Si peu de terre, tout éd. Le Dé Bleu,
2000
Écrire à côté éd. Tarabuste, 2000
Une petite fille silencieuse, André
Dimanche, 2001
Coeur élégie rouge réédition, André
Dimanche, 2001
Monsieur l’évêque avec ou sans mitre,
Le dé bleu, 2002
Les mots longtemps, qu’est-ce que le
poème attend ?, Tarabuste, 2003.
Mouvementé de mots et de couleurs, Le temps qu’il fait, 2003
La mémoire de personne, C. D’hervé,
éditeur, 2004
Trois anciens poèmes pour lui redire je
t’aime, Cadex, 2006
Un paradis de poussière, André
Dimanche, 2006
Broussaille de prose et de vers (où se trouve pris le mot paysage),
Obsidiane, 2006
Âneries pour mal braire, éditions
Tarabuste, 2006
Khalil El Ghrib, éditions Virgile,
2007
Le poème n’y a vu que des mots, L’Idée
bleue, 2007
Paroles du corps à travers ton pays, poème de quatre pages accompagné de deux gravures sur bois de Jacky Essirard, 16 exemplaires, éd. Atelier de Villemorge, 2009
Portrait du père en travers du temps, lithographies couleur de Djamel Meskache éditions La Dragonne, 2009
Bernard Pagès : élancées de fêtes, mais tenant au socle du monde
Editions La Pionnière/Pérégrines, 2009
cassette
L'obscurité qui nous prend par la main,
Artalect, 1994.
Une bibliographie très
complète avec
notamment les livres à tirage limité (non présents dans la bibliographie
ci-dessus)
Un article sur le site de
Jean-Michel Maulpoix
Un article d’Emmanuel Laugier dans le Matricule des Anges
Sommaire des actes d’un colloque de 2001
Sur
le site des éditions Cadex
Un
article de James Sacré sur la poésie de Gustave Roud.
Une
recension de Broussaille de prose et de vers sur le site Bleu de Paille
Une recension de Broussaille de prose et de vers et
de Âneries pour mal braire, par Tristan Hordé, sur Poezibao
Khalil
el Ghrib, note de lecture par Tristan Hordé
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