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lundi 22 août 2011

Commentaires

Ecrire est un affrontement avec soi-même. Parfois, devenir poreux à l'univers, être attentif au vol d'un papillon, à une fleur, nous replace dans l'unité paisible d'une plénitude première. Un vide et un plein. Vacuité. Miroir du monde. Guillevic ? Un échange intense avec cet inachevé de l'univers... Accueil et contemplation. Ecoute, là où tout est silence...

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