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mercredi 31 août 2011

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De Marie Etienne qui cite Bergman. La création ? "une terre chaude et sale sous un ciel froid et vide", à Lorand Gaspar qui écrit (Scherzo) : "Terre dévêtue/Terre usée/Lumière friable/saveur sans fond de chair nue/Ruinée, moulue/Comme un blé nouveau/Déjà mûr de sa musique/Qui monte dans les tiges du crépuscule...", en passant par tant de poètes, Poezibao trace en nos lectures un chemin entre ombre et lumière, absence et présence, transparence et opacité. Des paysages en "Approche de la parole" toujours inachevés, insuffisants, impuissants, pour témoigner de l'obstination à écrire la parole "saccagée de silence, ici et là inextirpable". J'ai aimé aussi "Lorand Gaspar - Cahier seize sous la direction de Daniel Lançon (Le temps qu'il fait - 2004) pour entrer dans la lumière obscure de cette admirable écriture.

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