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vendredi 26 août 2011

Commentaires

Cette poésie, elle cligne les yeux du sommeil éveillé, marchant à pas d'encre là où les choses tremblent de n'être pas encore nommées. "Les ardoises du ciel", comme c'est beau. Toit sur moi. Toit sur toi. Et mots lisses glissent encore endormis.Ici, le monde respire doucement, se "courbe avec patience". Cueillir les mots de Paul louis Rossi comme l'oiseau tombé du nid et les poser dans la douceur de l'arbre.

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