« Gilles Deleuze improvisant à propos de l’animal, au début de son Abécédaire, le compare à l’écrivain. Ils ont tous les deux un territoire, un univers restreint mais qui leur appartient en propre, et surtout ils sont sans cesse aux aguets.
Comme Kafka écrivant toute la nuit, les yeux grands ouverts dans le terrier familial. »
Gérard Macé, Pensées simples, Paris, Gallimard, 2011, p. 179.
[Choix de Matthieu Gosztola]