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jeudi 11 octobre 2018

Commentaires

Poezibao publie ici un commentaire proposé par Claude Minière : Frédéric Valabrègue est quelqu’un d’une étonnante agilité. Il vient de faire paraître un roman à la fois troublant et comique (Une campagne, P.O. L.), d’une écriture très fluide, et, ici, il compose avec naturel notes savantes et réflexions primesautières. C’est admirable et amical.Il vous dit par exemple : « argumentaire croisé comme pilpoul quasi talmudique » ! L’écrivain se révèle aussi être un lecteur intelligemment sensible à l’œuvre de traduction de poésie : « Où est le moteur, à l’avant ou à l’arrière ? » Question parfaitement pertinente. Je m’interroge quand Valabrègue écrit que « le verbe n’est pas le moteur puisque nous le lisons souvent comme un nom commun. » Fait-il référence spécifiquement à la langue allemande ou son observation est-elle de portée plus générale ? Je dirais (je l’ai déjà dit) qu’un nom peut être un verbe.

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